Les questions fondamentales que le collectif a posées en répondant au courrier CCLA du 20 juillet, n'ont pas valu d'éclaircissement encore. Avant d'être à même de participer à une discussion collective, il serait pourtant essentiel de savoir quels acteurs sont conviés.
- Le Conseil général, propriétaire des installations d'aviron est-il prêt à une négociation ?
- Le Collectif SOS LAC, avec toutes ses composantes, est-il accepté pour être l'acteur de cette négociation ?
Pour l'heure, nous recevons de la CCLA une re-formulation des mêmes propositions (peut-être se demande-t'elle si nous les avions comprises ?)
Ici, nous pouvons la rassurer, elles sont très claires, comme elles l'avaient déjà été dans le courrier du mois précédent.
VOIR le courrier CCLA du 28 août 2014
Après concertation de notre directoire et toujours en accord avec les associations partenaires, une nouvelle réponse formulée différemment est envoyée.
VOIR le courrier du collectif du 15 septembre 2014.
Avec notre précision à propos des "préalables" qui nous sont réclamés.
J'ai une question, le collectif (les associations et particuliers du collectifs) ont bien gagné au tribunal administratifs, non? Pourquoi faudrai t il que le collectif se positionne en tant que "perdant" en acceptant les installations alors que c'est le CG qui n' a plus aucune autorisation pour ses installations? Dans l'histoire c est plutot le CG les voyous qui ont construit au mépris des lois, non? la tentatives de négociations de la CCLA est tout à fait louable mais à sens unique....que done le CG dans cette histoire, rien, c est au collectif d'accepter des conditions pour lesquels il se bat depuis le départ..
RépondreSupprimerCroire des promesses floutées, en échange de l'abandon d'un droit fondamental. Irrespect total d'un verdict d'illégalité rendu, que l'on s'autoriserait à négocier entre "amis" pour contourner une justice que nous aurions légitimement sollicitée, encombrée, fait travailler, sous la protection de laquelle nous nous serions placés; tout cela pour au final la désavouer dans une négociation de boutiquiers.
RépondreSupprimerCes petits jeux stratèges qui font indéfiniment durer les conflits et les délits amènent notre pays dans les impasses violentes actuelles dont certains espèrent que les seules actions laissées disponibles à leurs victimes justifieront leurs forfaitures démocratiques.
Après avoir insulter la nature, vos préalables outragent la justice de notre pays.
Collectif SOS, je suis fier de la quiétude de votre combat loyal et désintéressé, laisser aux arracheurs de pancartes, les violences anonymes et aux élus, le bricolage des fléaux de la balance. Vous êtes des justes.
autrement dit on vous propose un compromis sur la base :
RépondreSupprimer* cessez de faire constater en justice que l'iouvrage est constitué dans l'illégalité
* acceptez l'ouvrage et la façon dont on veut en faire usage
* en contre partie nous ferons un geste.
La légalité n'est pas une contre partie qu'on négocie.
Vous causez un dommage il faut une compensation, ceci est la simple justice, il n'y a pas de négociations sur cet objet.
Pour s'entendre il faut s'engager à qq chose de plus que ce à quoi on est déjà tenu par la loi et ensuite de par sa violation.
Plus je lis les actu et plus je me dis que ce qu'il se passe est complètement à l'image de notre gouvernement. Le CG a eu tort et a construit au mépris des lois, mais plutot que de faire un méa culpa et d'écouter le peuple (ou les sans-dents), il continue dans une position très difficile à tenir quite à aller dans le mur (annulation des CM)! le collectif a proposer plusieurs alternatives viables et respectueuses du lac, réfléchissez, ne vous borné pas car j'ai bien peur que la chute peut faire très mal....
RépondreSupprimerBonjour, vous me direz si je me trompe , dans les courriers échangés entre la ccla est les associations , jamais n'apparait le collectif ,toujours le courrier est adressé aux associations, la ccla , représenté par son président ignorait il le collectif ,cette personne est il au courant qui y a des gens qui sont contre le projet dont il est l'initiateur et de plus avec l'argent des contribuables,
RépondreSupprimer