- Un immeuble pour arbitres à l'arrivée, en zone naturelle protégée est-il acceptable ?
- Une cabane de départ sur terrassement béton en zone strictement protégée est-elle acceptable ?
- Des affouillements en zones naturelles protégées sont-ils permis ?
- Les pontons en zones strictement protégées, sans permis de construire, sont-ils acceptables ?
- Une enquête publique environnementale peut-elle être insuffisante, présenter un projet différent de celui qui sera réalisé ou même évincer l'étude de certaines solutions alternatives ?
dessin Pierre Echevin |
Au fond, la question posée est à peu près résumée : "Peut-on déroger aux règles de protection des rives et du milieu aquatique pour tous les prétextes et tous les caprices ?"
Message aux donateurs : A vous qui avez choisi d'offrir des moyens financiers indispensables à ce combat, les associations unies dans les recours et votre serviteur, le collectif SOS LAC... qui anime l'action, souhaitent vous remercier et exprimer toute leur reconnaissance pour votre contribution.
La somme de 4 000 € est atteinte et c'est déjà magnifique !
Et, plus que jamais, on ne lâche rien !
Cet argent serait plutot le bienvenu pour les restos du coeur et en plus une reduction fiscale est possible ( selon la loi Coluche. Alors que là...; c'est de la brioche donnée aux cochons pour alimenter certains egos surdimentionnés.
RépondreSupprimeralors que dites-vous des 2,5 millions d'euros d'installations définitives qui auraient pu être provisoires pour le 1/4 du budget et qui, de plus, font doublon avec celles existantes, le tout pris sur vos impôts...Ça ne vous fait pas mal aux restos du coeur ça ?
SupprimerUn vomi anonyme ça se sent, mais ne se partage pas.
SupprimerTiens le sous-marin du CG 73 est de retour: comment allez vous cher anonyme, trop pétochard pour dire son nom ? Quant aux restos du coeur, on pourra se poser beaucoup de questions sur leur gestion et ceux qui en profitent., mais ça n'est pas le sjuet ici.
SupprimerCher Monsieur, sachez que je ne suis le s-marin de personne. Je lis de temps en temps vos echanges et je constate qu'il y a en général à peut près les mêmes personnes qui répondent, souvent pour ne rien dire.
SupprimerMa reflexion sur le bien fondé de vos demarches judiciaires est la suivante:
Vous avez déjà été au tribunal, résultat..?
Les travaux sont en cours et il n'est pas possible de les arrêter.
Vouloir continuer votre" combat" c'est dépenser encore, pour un résultat très hypothetique. Et dans le cas contraire, il faudra encore payer pour tout démonter...
alors hormis de répondre systématiquement que c'est la faute du CG, votre action me semble inutile, sauf si elle sert uniquement a régler des vieux griefs ou des egos surdimentionnés . Et ne vous en déplaise je continu à signer anonyme, non pas par lacheté, mais face à vos réactions violentes je ne tiens pas à subir des represailles.
Nous n'avons pas encore eu de jugement au tribunal. Vous confondez avec les référés-suspension pour lesquels 1 juge n'a pas considéré qu'il y avait urgence à suspendre..c'est tout.
SupprimerEt oui les travaux ont démarrés. Il faudrait donc abandonner les recours selon vous ? Et ouvrir encore plus grande la porte qui permettrait à tous les promoteurs de projets déments de venir imposer leur construction si "indispensable"...Et bien nous disons NON. L'avenir du territoire est en jeu et notre action est loin d'être inutile, bien au contraire.