Nous demandons la reprise de discussion avec le Département. VOIR. Rappelez-vous : nous participons depuis fin 2015 à une réflexion positive pour rendre le sport aviron à son tracé historique et lui assurer des compétitions sereines et durables, plus compatibles avec les autres usages, le patrimoine culturel, la santé publique...
Après que le dossier d'intention mis au point ensemble ait été adressé en juin 2016 aux administrations pour recueillir leurs avis, nous avons attendu que celles-ci se prononcent.
Seul le préfet de Savoie émet un avis défavorable pour raison de chutes de pierres sur la route RD921... Très bizarre !
Car, nous devons préciser que, fort justement, le dossier annonçait l'intention du déplacement total du public. Celui-ci serait acheminé hors de la route, d'une part, et côté Maison du Lac, d'autre part. Au vu de la réponse, nous sommes en droit de nous étonner que cette administration aie interprété différemment le dossier ???
Serait-ce les prémices d'une fin de non recevoir ? Ce serait tellement dommage pour l'avenir de ce sport à Aiguebelette. Sans solution alternative, il devrait donc définitivement être interdit de compétition sur le bassin Est à cause de ses spectateurs, ou bien concourir sans public, ou bien n'avoir droit qu'à 2 compétitions par an, en tout et pour tout, à l'Ouest. Impensable !
Serait-ce les prémices d'une fin de non recevoir ? Ce serait tellement dommage pour l'avenir de ce sport à Aiguebelette. Sans solution alternative, il devrait donc définitivement être interdit de compétition sur le bassin Est à cause de ses spectateurs, ou bien concourir sans public, ou bien n'avoir droit qu'à 2 compétitions par an, en tout et pour tout, à l'Ouest. Impensable !
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| scénario tribune Maison du lac |
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| scénario tribune rive Est |
Nous espérons défendre l'intérêt de tous les usages et, aussi, celui du sport aviron d'Aiguebelette.
A ce stade, il semblerait qu'il soit nécessaire que nos éléments puissent s'étayer d'explications supplémentaires plus consistantes pour espérer trouver un écho vraiment attentif aux propositions positives du dossier. Nous devons donc reprendre les discussions et travailler ensemble à plus de concret.
Mr Sarrand, directeur des services du Département, avait marqué son ouverture à ce que nous avancions vers une étude large des évolutions et de ses conséquences. Nous demandons la poursuite du processus car nous sommes tournés vers les actions positives...
N'en faîtes pas trop quand même ! Ce ne serait pas le premier bouchon pourri mal équilibré qui serait lancé en eaux...troubles. Le positivisme forcené ne saurait se départir de lucidité. On avance dans le temps, mais les succès juridiques semblent juste délivrés pour "marquer le passage" suivant l'expression chères aux démarcheurs commerciaux. Pour remotiver les "dons", peut-être serait-il opportun de lister ce qui a été réellement remis à l'état originel sur le terrain, suite aux nombreuses condamnations obtenues. Sinon le combat semble changer de signification.
RépondreSupprimerUn fidèle annécien, soutien de la première heure, légèrement désabusé.
Rien n'a été remis à l'état naturel pour l'instant. Les régularisations administratives ont permis de faire revalider toutes les pièces. Nous avons engagé de nouveau des procès qui sont en attente de jugement. Pour l'instant les dons n'ont aidé que partiellement au financement (environ 1/3) et nos associations partenaires souffrent des punitions financières infligées par les autorités (subventions supprimées, etc...). Néanmoins, nous avons fait reculer les prétentions de prédation du Département sur ce lac et nous espérons que tout prédateur trop gourmand trouvera la population sur son chemin... ZAD toujours possible !!!
RépondreSupprimerIl serait bon au vu du commentaire de l'annécien désabusé de rappeler tout ce qui ne s'est pas fait et ce qui a été modifié grâce au collectif... Je pense simplement au ponton dit du chalet du lac, au début les dimensions n'étaient pas celles d'aujourd'hui ni les poteaux... Toujours rappeler !
RépondreSupprimerbeaucoup de résultats en effet, déjà. Bien que nos espoirs ne soient pas encore atteints. 17m de pontons en moins, un herbier immense préservé, des palafittes du néolithique en voie de destruction par le bassin d'aviron, enfin considérés, moins de 25 jours de bassin en travers du lac alors que 100 à 120 jours étaient en marche, des prétentions de transformer le lac naturel en grand centre nautique d'aviron prioritaire ont été enrayées (mais nous restons vigilants car les manoeuvres des collectivités continuent..), et nos procès espèrent rencontrer plus que ça, si les juges font honneur à la justice qu'ils ont a faire appliquer... Beaucoup d'avancées ont été gagnées par nos actions.
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